Et vive la rentrée ! [ RP avec Aliya-- si elle réussit à y répondre... un jour --' ]

Encore un de ses réveils brutal que je déteste; le voisin d’à côté fait encore des siennes… Je devrais lui dire que « découvrir son corps » à 16 ans c’est supposé être fait ? … Je crois plutôt que je devrais gardé ce précieux commentaire pour moi; on ne sait jamais quand j’en aurai besoin contre lui un jour pour quelque chose de plus "important", si l’on peut dire ça. Je regarde furtivement le réveille-matin, n’ayant pas eu l’occasion de faire son travail, contribution spéciale du voisin d’à côté, qui affiche sept heures quinze. Merde! Et moi qui croyait que le temps passait vite quand l’on dormait… Encore une perte de temps; mes trois heures de sommeil ne m’auront servit en rien de bon, encore une fois. Ne trouvant plus le sommeil, je me levai et fit ma petite routine quotidienne; je pris ma douche et exceptionnellement je pris la peine de fermer les rideaux et de barrer la porte du petit appartement; je ne voulais pas faire encore une de ses erreurs que de me faire observer, sortant de la douche, vêtu d’une tunique d’Adam par les filles voyeuses du pâté de maison avoisinant… L’erreur capitale que je venait de faire cette matinée là; environ trente filles m’avaient, presque nu, sur leurs cellulaire comme si je m’exhibait devant le premier venu. Il m’a fallu près de deux semaines avant de réussir à toutes les effacer.

[…]

Bref, une fois tâche finit, je réussis à faire une boule de couvertures à l’aide de celles qui traînaient sur mon lit simplement composé d’un matelas. Un furtif coup d’œil à l’horloge; sept heures cinquante s’y affichait.

– « Pas la peine de manger, je mangerai ce midi. De toute façon le voisin m’a coupé l’appétit. », me dis-je en regardant le frigo comme si je devais lui donner une raison. Enfilant un chandail de laine et un jeans déchiré ici et là, je pris mon portefeuille et partis pour cette fameuse « journée shopping ».

[…]

Une fois rendu sur place, je remarquai que presque personne n’était présent; Il faut dire que je dois être le plus fou pour vouloir magasiner à huit heures du matin… Mais que voulez-vous; j’ai horreur des foules et du monde qui courent les étiquettes rouges comme si ça pourrait leurs sauver la vie. De toute façon, je suis ici pour acheter quelques nouveaux fringues car après je suis bon pour jusqu’au "temps des réjouissances". Marchant tranquillement vers le centre du bâtiment, je remarquais que les personnes aux caisses étaient, j’en ai aucune espèce d’idée, tous en tain de somnoler le visage appuyer fermement dans leurs mains tremblantes. Naturellement, je m’amusais à leurs trouver des excuses pour leur état;

- « Ah, lui il doit avoir trop but de vodka hier soir ! J’voudrais pas être près de lui pour sentir son haleine, ouf ! »

- « Celle-ci a parlé trop longtemps au téléphone avec sa super copine, qui habite au coin de sa rue, pour parler que sa relation de couple va mal ! C’est vrai ! On voit encore des traces de téléphones sur sa joue! »

- « Lui… humm.. J’crois qu’il a pas dormit avec les cernes qu’il a sous les yeux… Mais Siiiii ! Regarde, on pourrait y mettre 3 bourses de dame à l’intérieur et personnes ne le remarqueraient ! »

Riant intérieurement tout en se baladant, il trouva enfin un magasin qu’il sembla n’avoir jamais vu; //Tronik’s Wears\\ . Je conclu rapidement que ça venait d’ouvrir lorsqu’un mélange d’odeur de peinture et de sciures de bois montèrent à mon nez. J’eus automatiquement le réflexe de tousser comme pour essayer d’ôter cette odeur écœurante qui vient vous chercher jusque dans vos entrailles. Après un bon gros cinq minute insupportable dans l’entrer du magasin, je rentrai décidé à regarder ce chandail qui lui fessait de l’œil, respirant par la bouche pour diminuer l’absorption de ce gaz meurtrier.

- « Bonjour Monsieur! Bienvenue au Tronik’s Wears ! Mon nom est Rita! Est-ce que je peux vous aider ? »

Ces quelques mots m’ont, comment dire, faite pouffé de rire! "Rita" me répétais-je dans ma tête; « Ça c’est une mère qui n’aime pas sa fille qui la nomme comme ça ! Pff ! HAHAHAH ! » Sur ces mots, je vis les yeux de la femme s’agrandir, puis se remplir d’eau tranquillement. Oups, je crois que j’ai fait une erreur… Est-ce que j’ai vraiment dit ces mots à voix haute !? Merde ! Le con ! Pourquoi je me suis levé ce matin; j’aurais dût resté couché malgré les intrépides aventures du colocataire voisinant. La femme se retourna et partit s réfugier derrière sa caisse, dos à moi. Je me sentais extrêmement mal. Le minimum était d’acheter quelque chose et de lui s’excuser… Changement de plan; acheter un morceau de linge sera suffisant. Me connaissant, je vais empirer la situation si j’essaie de m’excuser…
Je me dirigeai vers ce foutu chandail; il était noir avec des signes et pleins de traits complètement inutiles, mais je le trouvais intéressant et de toute manière, je veux partir le plus vite possible d’ici et je dois avoir l’air un peu « civilisé » après tout, c’est moi qui l’a mis dans cet état… Je pris le chandail en question et me rendis à la caisse de la femme, toujours tournée.

- « Excusez-moi, j’aimerais payez ce chandail… », dis-je en balbutiant les mots.

- « Vous en êtes sur ? Vous n’avez pas plus envie de me traiter de nom? Ah non, je suis désolé, ça c’est déjà fait ! » Dit-elle en me prenant le vêtement des mains.

- « Ça fait 30,43$, s’il te plaît, car au stade qu’on est rendu, je crois que l’on peut se tutoyer! »

- « Euh... Je crois bien qu’il y a une erreur sur le prix… C’était indiqué 15$ là… » Répliquais-je aussi sèchement que possible.

- « Avec le jolie compliment que vous m’avez fait je crois bien que ça mérite un beau cadeau! Vous êtes pas heureux maintenant ? En passant, j’attends toujours; 30,43$! » poursuivit-elle d’un air purement ironique. Mais elle manque pas de front elle ! Je vais lui en faire un 30,43$ moi !

- « En fin de compte, « Rita », ma douce et tendre moitié, tenez, ‘je commençai à lui parlez comme si elle avait 3 ans’ gardez ce Zolie bout de tissus et faites vous un Beau beau beau mouchoir à sous avec lequel vous pourrez vous moucher et pleurer dedans car oui, ça l’existe du monde pas Zentil et bon dans le vie! Comme moi ! Au revoir, Rita ! » Finis-je en claquant la porte derrière moi.

J’étais hors de moi, comment une caissière pouvait-elle parler de la sorte aux clients !? Au même moment que je pensai ces mots, je rentrai en collision avec quelqu’un; plus précisément une fille. Nous sommes tombés tout les deux sur le sol froid de céramique. Je la regardai et elle me répliqua immédiatement;



Edit de l'Admin : (je supprimerai cet édit par la suite) en principe en rp, on doit parler à la troisième personne ^^ Si tu veux t'habituer, fini celui là à la première personne mais le role play se fait à la troisième personne du singulier.
Edit de Moi-même X_X : D'accord ! Juste pour t'avertir, normalement j'écris en 3ème personne du singulier, sauf que sur d'autre fofo je voyais pleins de monde écrire en 1ère, donc je voulais essayer; résultat= pleins de fautes comme " Je me levai et il prena son chandail " ¬¬" Mais c'est Okaii ! Je vais écrire ;a la troisième personne à l'avenir ;-) ! ça me fait mpeme plaisir que tu me le dise X_X haha =)